Communiqué par Lesieur

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Quelques éléments complémentaires pour répondre aux idées reçues de vos patients de + 50 ans

Dans votre pratique au quotidien, il vous arrive peut-être de devoir faire face à certaines idées reçues de vos patients. Pour compléter vos réponses face aux idées reçues sur le sujet des matières grasses et de la prévention cardiovasculaire, voici quelques pistes de réponses.

Idée reçue n° 1 :
Personne n’a de problème de santé cardiovasculaire dans ma famille,
je n’ai pas à m’en préoccuper.


L’absence de facteurs de risque personnels ne suffit pas pour prévenir les maladies cardiovasculaires, d’autant plus que le risque cardiovasculaire augmente avec l’âge1. Il est, en effet, nécessaire d’agir sur l’ensemble des facteurs de risques comportementaux, en adoptant notamment les bonnes pratiques suivantes :

  • Arrêt du tabagisme.
  • Réduction de la sédentarité et pratique d’une activité physique régulière.
  • Mise en place d’une alimentation variée et équilibrée

Idée reçue n° 2 :

J’évite de consommer des matières grasses pour réduire les risques de maladie cardiovasculaire.

Attention à ne pas mettre toutes les matières grasses dans le même panier. La famille des matières grasses est vaste et rassemble des acides gras aux structures variées ayant des intérêts très différents sur l’organisme.

Dans la sous-famille des acides gras saturés, on trouve par exemple les acides laurique, myristique et palmitique qui, consommés en excès, sont athérogènes. Autrement dit, ils favorisent le dépôt de plaques riches en cholestérol dans les artères2.

À l’inverse, la sous-famille des acides gras poly-insaturés est plus intéressante pour la santé. En effet, certains de ces acides gras sont dits « essentiels », ils sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme, mais ce dernier ne sait pas les synthétiser. Ils doivent donc obligatoirement être apportés par l’alimentation. C’est le cas des omégas 3 (ALA) et 6 (AL), dont il ne faut pas se priver3 en consommant, par exemple, certaines huiles végétales qui en contiennent4 (colza, lin, noix, huiles mélangées type ISIO 4). De plus, les oméga 3 contenus dans ces huiles contribuent au bon fonctionnement cardiovasculaire : les oméga 3 (ALA) contribuent au maintien d’une cholestérolémie
normale5
.

Idée reçue n° 3 :

Je n’ai pas besoin de faire attention à mon alimentation tant que je n’ai pas de cholestérol.

Il faut tout d’abord distinguer le LDL-cholestérol ou « mauvais cholestérol » du HDL-cholestérol ou « bon cholestérol ». Un excès de LDL-cholestérol dans le sang, également appelé hypercholestérolémie, est un facteur de risque de maladie cardiovasculaire6. Il peut, en effet, conduire à la formation de plaques graisseuses dans les artères pouvant, à terme, bloquer la circulation du sang, on parle d’athérosclérose6.

Une adaptation de l’alimentation comme un rééquilibrage des apports en matières grasses est l’un des leviers pour, a minima, maintenir ce taux de cholestérol. Il est, par exemple, conseillé de7 :

  • Limiter la consommation d’aliments riches en acides gras
    saturés : viande rouge, beurre, huile de palme…
  • Privilégier les aliments qui contiennent des acides gras
    insaturés (omégas 3, 6, 9) : poissons gras, margarine,
    huiles de colza, de lin, huiles mélangées type ISIO 4…

Au-delà des matières grasses, il est également préconisé de consommer davantage d’aliments riches en vitamines antioxydantes comme les fruits, les légumes ou encore des huiles végétales6.

ISIO 4 de Lesieur
est un mélange d’huiles issues de 4 graines
(colza, tournesol, tournesol à haute teneur en acide oléique et lin).
2 cuillères à soupe par jour représentent pour un adulte :

88 % des apports quotidiens en oméga 3 (ALA)8

200 % des apports quotidiens en vitamine D9

50 % des apports quotidiens en vitamine E9

Une partie de la solution pour un apport

quotidien satisfaisant en oméga 3 (ALA) !

Plus que jamais engagés pour les transitions alimentaires et environnementales, nous portons des marques iconiques pour accompagner les Français dans leur cuisine au quotidien. Nous avons à cœur de proposer des produits de qualité nutritionnelle comme ISIO 4, l’allié du quotidien pour toute la famille.

Avec l’huile ISIO 4, notre volonté est de contribuer à une alimentation de qualité en apportant, d’une part, des oméga 3 (ALA) dont les apports sont environ 2 fois trop faibles chez les Français3 et, d’autre part, en vitamine D qui est déficitaire chez 70 % de la population10.


Fiche d’accompagnement pour vos patients

« Prévention cardiovasculaire : accompagner vos patients dans leur consommation de matières grasses » 

1. Ministère de la santé et de la prévention, Maladies cardiovasculaires, juin 2022. – 2. Anses. Avis de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à l’actualisation des apports nutritionnels conseillés pour les acides gras. 2011. – 3. Recommandations nutritionnelles pour la population, Les précis de diététique, 2020 + ANSES. Étude individuelle nationale des consommations alimentaires 3 (INCA 3), 2017 – Les apports moyens en acides gras oméga 3 (ALA) et oméga 6 (LA) de la population adulte française (18-79 ans) sont inférieurs aux références nutritionnelles pour la population : oméga 3 (ALA) = 0,4 % de l’apport énergétique sans alcool contre 1 % recommandé ; oméga 6 (AL) = 3,1 % de l’apport énergétique sans alcool contre 4 % recommandés. – 4. Santé Publique France. Programme National Nutrition Santé 4. 2019. – 5. Effet bénéfique obtenu par la consommation journalière de 2 g d’acide alpha-linolénique (oméga 3) dans le cadre d’une alimentation variée, équilibrée et d’un mode de vie sain. Le remplacement d’une matière grasse riche en acides gras saturés par une matière grasse riche en acides gras insaturés permet de réduire le taux de cholestérol LDL. Le cholestérol LDL est un facteur de risque cardiovasculaire. – 6. Collège des Enseignants d’Endocrinologie, Diabète et Maladies Métabolique. Endocrinologie, diabétologie et maladies métaboliques. 5e édition, 2021. Elsevier Masson. – 7. Société française d’endocrinologie. Facteurs de risque cardiovasculaire, prévention. Dyslipidémies. ECN 4ème édition 2019. Elsevier Masson. – 8. Estimation pour un apport énergétique de 2000 kcal/jour pour un adulte. – 9. European Commission, « Information on Nutrition and Health Claims », avril 2021 – 10. Anses. Avis de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à l’actualisation des références nutritionnelles françaises en vitamines et minéraux. 2021.

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